Je suppose que je n'aurais rien à dire sur papa. Ou rien qui soit vraiment vraiment intéressant. Parce qu'à la vérité, je pourrais parler de lui durant des heures, mais ce serait tellement ennuyeux pour qui m'écouterait. Papa et moi vivons probablement dans une autre réalité, un monde à part, où nous nous complaisons paresseusement.

C'est lui qui m'a élevée. Oh, il serait injuste de dire que maman ne m'a pas élevée ou que mes grands-parents n'ont pas participé, mais depuis la disparition de la première, il s'est dédié à moi corps et âme, bien qu'il ne l'admettra jamais de vive voix. Cela fait déjà quinze ans que nous ne sommes plus que tous les deux, et parfois j'aimerais qu'il refasse sa vie, mais je crois que ce serait plus facile si nous étions certains que maman ne reviendra pas. Vous devez me croire folle de nourrir cet espoir, mais ce serait plus facile, d'une certaine façon, de la savoir décédée. Papa ne culpabiliserait pas à l'idée de partager son temps avec une autre que sa fille, et je lui retrouverais cet éclat qu'il avait autrefois, celui qu'il a perdu le jour où je l'ai vu pleurer pour la première fois. Je le sais mélancolique, encore, parfois.

Me voilà bien mélodramatique. Tout semble triste, raconté come ça. Pourtant papa et moi sommes heureux tous les deux. Nous sommes entourés d'une famille aimante et passons beaucoup de temps ensemble malgré un travail de médicomage très prenant. Je crois que, vus de l'extérieur, nous paraissons excentriques, à partager fous rires et jeux comme des enfants de cinq ans, mais cela nous convient. Quand j'étais à Poudlard, nous rudoyions la pauvre Joséphine à nous envoyer tant de courriers. Nous avions besoin de nous savoir heureux, c'était notre truc. Je crois que ça n'a pas changé, et je le remercie pour ça. Je le remercie pour sa présence, sa sempiternelle bonne humeur, son amour de l'absurde et sa tendresse. Il est le meilleur, mais il le sait, je crois.

Maman. Je me souviens de la douceur de ses baisers et de son éternel sourire. Il rayonnait sur tous ceux qui l'entouraient. Mais à la vérité, j'ai l'impression de ne l'avoir jamais connue. Huit années, c'est bien peu de temps à passer avec une mère, et les souvenirs que je garde d'elle me semblent provenir d'un rêve lointain et flou. C'est probablement vrai. Lorsqu'elle a disparu, ce fameux soir où la fièvre m'empêchait de sortir, j'ai cru que ma vie s'arrêtait. Elle a continué pourtant, et j'ai eu beau verser mes larmes, la vie ne me l'a pas ramenée. Alors, pour ne pas la décevoir, j'ai recommencé à sourire. Avec papa, nous avons regagné l'Irlande et sont venues les années de Poudlard, ma formation d'auror, mon voyage, mes débuts dans le quiddtich. Elle n'a rien vu de tout cela, mais j'ai veillé à lui faire honneur dans chacun de mes gestes et dans chacun de mes choix. J'en suis fière, et j'espère que le jour où nous nous retrouverons, elle sera fière également. Parce que je sais, je sais, qu'elle ne nous a pas abandonnés, n'en déplaise aux mauvaises langues. Je le sais. Et c'est peut-être un fol espoir que de me dire que je la retrouverai et que tout redeviendra comme avant, j'ai conscience que c'est une chimère qui ne se réalisera probablement jamais, mais j'aime y croire, et pour rien au monde je ne veux perdre cette foi. Parfois, quand j'ai besoin d'être rassurée, j'aimerais qu'elle soit là et qu'elle me serre dans ses bras comme une petite fille. J'aimerais sentir son odeur et l'entendre rire... pour entretenir le côté ridiculement pathétique de la situation, sans doute. Mais enfin, au moins, j'ai des sentiments. Et puisque c'est le sourire aux lèvres que je l'honore chaque jour, je ne vois pas pourquoi je me priverais d'espérer que, là où elle se trouve, elle est comblée par la femme que je suis devenue. Qu'il sera beau, le jour de nos retrouvailles.

Aoda était une petite fille charmante : douce, aimable, souriante et vraie. Mais par dessus tout, c'était ma soeur. Bien qu'elle fût mon aînée de presqu'une heure, elle a toujours été la plus fragile, celle qui avait besoin d'être protégée, d'être rassurée ; celle qui pleurait quand elle se faisait mal et qui s'inquiétait quand il faisait un peu trop noir. Par pure ironie, c'est celle de nous deux qui a disparu. Je ne saurais parler de cet épisode de nos vies sans verser dans le dramatique et je ne lui rendrais pas bien hommage en le faisant. Je n'aime pas parler d'elle et moins encore de la soirée qui nous sépara, je ne le fais d'ailleurs que très rarement. Nous étions deux enfants vives, très différentes et très semblables à la fois. Nous nous retrouvions dans un monde de douceur que nous avions construit à notre image et, à deux, nous nous sentions invincibles. En disparaissant, elle emporta avec elle cette foi que j'avais en moi, en nous, et c'est derrière mon extrême gaieté que se cache aujourd'hui habilement cette faiblesse. Elle me manque, et parfois je rêve que je passe à côté d'elle sans la reconnaître, malgré son physique identique au mien. Parfois, j'ai peur de ne pas retrouver mon image dans ses yeux, ce qui est absurde, puisque nous ne nous reverrons probablement jamais. Mais peu importe, au fond, je ne crois pas m'étendre plus sur le sujet.

Grandpa est un homme charmant et humble, et il suffit de jeter un oeil à la petite chaumière qu'il a entretenue une grande partie de sa vie pour comprendre de quel genre d'homme il s'agit. Aimant travailler le bois, la terre et vivre à la campagne, il témoigne, comme presque nous tous, d'une allégresse sans égal. Il s'absente pourtant souvent pour différentes raisons liée à un travail qu'il n'a jamais vraiment su quitter - il affirme que quand on se prend d'amour pour l'une des sciences de la nature, on ne peut jamais plus s'en détacher, mais quand il est là, je passe beaucoup de temps à l'écouter raconter ses histoires ou à l'aider à toutes sortes de petites choses. Il a tenté me transmettre son goût des affaires bien faites, sa patience et sa minutie. Je crois que je suis un très mauvais élève, et cela le fait beaucoup rire. Parfois, il me fait penser à un vieux sage. Il est le stéréotype du vieil homme un peu rêveur, entouré de ses petits-enfants et capable de leur donner tant d'attention qu'on a peine à croire qu'il eût une vie avant eux. C'est un homme adorable, et en le voyant, je comprends mieux d'où provient le bon caractère de papa et de mon oncle Alan.

Un être exceptionnel. Exceptionnel de gentillesse, de bonté, de répartie, d'intelligence. Grandma n' rien à envier à qui que ce soit, je crois que tout le monde s'accorde sur ce sujet. Elle est pourtant très humble : c'est une grand dame du monde, de celles qui ambitionnent de panser toutes ses plaies. C'est également une excellente pâtissière, ce qui ne gâche rien. Tout naturellement, je me suis toujours entendue à merveille avec elle, et c'est avec plaisir que je regagne la petite chaumière qui les abrite, elle et Grandpa, à chaque fois que papa s'absente. Et tout au long de ces années, elle a pris soin de moi comme de la fille qu'elle n'a jamais eue. Nous nous sommes rencontrées, en quelques sortes, et j'aime profiter de ses conseils et de sa sagesse aussi souvent que je le peux. Bien sûr, nous sommes souvent en désaccord, mais nous ne nous disputons jamais. J'apprends d'elle et je crois que, parfois, elle apprend de moi. C'est en tous cas ce qu'elle m'a laissé entendre, et je ne la remercierai jamais assez de sa présence aimante.

Un sacré caractère, mon oncle Alan ! Drôle, vivant. C'est avec lui que je fais d'ailleurs mes pires bêtises, sans doute parce qu'il se sent moins tenu d'être responsable de moi que papa ne l'est. C'est un père formidable avec ses enfants et un oncle merveilleux avec moi. Nous nous ressemblons beaucoup, je crois. Tous deux têtus, susceptibles et râleurs, nous avons trouvé dans notre fausse mauvaise foi un véritable terrain d'entente. Nous adorons nous confronter à toutes sortes de choses également, et parions toujours sur qui sera le meilleur : aux échecs, à la course, aux jeux vidéos, en cuisine, en dessin, en tout. Ce n'est pourtant jamais de la compétition méchante : le perdant râle, le gagnant s'esclaffe, nous éclatons enfin tous deux de rire et nous défions à nouveau. Je crois que j'aurais aimé le défier au quidditch, s'il avait été lui aussi un sorcier. C'est un sportif, je suis certaine que le jeu aurait été extrêmement stimulant ! Mais je suppose, comme il me le répète souvent que l'on ne peut pas tout avoir, et après tout, les choses sont très bien comme elles sont.

Tante Mila est sans aucun doute une personne charmante, oui, mais je la sens parfois un peu perdue parmi les Enatari. Elle n'a pas reçu la même éducation, et je crois qu'elle nous trouve tous un peu étranges. C'est une personne très douce, très aimable et affable, et très belle aussi, mais je suis persuadée que, parfois, elle ne se sent pas à sa place. Elle et moi nous entendons poliment et même, nous entraidons très souvent. Elle aime d'ailleurs me donner son avis sur les événements de ma vie, me conseiller, essayer de me guider, d'être présente comme pour combler l'absence de ma propre mère, mais je sais que, très souvent, je la désespère. Elle est rapidement angoissée, s'énerve vite et aime contrôler chaque situation. Elle me sermonne d'ailleurs parfois comme si j'étais son propre enfant. Mais je ne le suis pas et je ne me laisse jamais faire, ce qui donne parfois naissance à certains conflits. J'ai le sentiment même qu'il lui arrive de me reprocher de passer autant de temps avec sa famille. Mais enfin, ne sont-ils pas ma famille, à moi aussi ?

Daniel est si beau et nous nous entendons si bien. De trois ans mon aîné, il m'a toujours protégée comme sa propre soeur. C'est d'ailleurs probablement un peu malsain, de tant admirer la beauté et la personnalité d'une personne que l'on considère comme son propre frère. Mais qu'y puis-je ? Nous passons beaucoup de temps ensemble, nous rions beaucoup. Comme oncle Alan, il est drôle, spontané et aime me défier à toutes sortes de jeux. Il est également très présent. Nous passons souvent de longues heures allongés à nous raconter les derniers événements de nos vies respectives. Il est sans aucun doute l'un de mes piliers. Je le surprends d'ailleurs parfois à jalouser les autres personnes importantes de ma vie, mais il n'en dit jamais rien, et je l'en remercie. J'aurais tellement aimé qu'il puisse partager avec moi l'univers de magie dans lequel j'évolue et le retrouver à Poudlard l'année de mes onze ans. Mais je suppose que la situation est très bien comme elle est, après tout, même si j'aurais sans doute apprécié qu'il ne soit pas mon cousin.

Dire que je me suis toujours parfaitement entendue avec Jolien serait un mensonge. Nous nous sommes certes toujours beaucoup appréciées, mais nous nous sommes également beaucoup disputées étant enfants, principalement parce qu'elle jalousait ma condition de sorcière et qu'elle cherchait à se venger de moi en profitant de ses deux années de plus pour me mettre dans des situations embarrassantes. Bien heureusement, le temps chassa la jalousie et nous rapprocha et, à l'heure actuelle, nous sommes deux parfaites amies qui aiment à se retrouver dès que l'occasion se présente. J'aime sa compagnie. C'est une jeune femme sympathique et vive à l'oeil aiguisé et à la critique facile. Je ne parle ici pas de critique gratuite, mais plutôt de critique "orientée", ou "utile", c'est selon. Car c'est aux travers du monde que vont ses reproches. Armée de son appareil photo, elle immortalise les dérives de celui-ci et ses portraits ont le don de vous retourner les sens. Son seul souci, sans doute, est d'être un peu fleur bleue et de croire aux beaux discours de tous les Apollons que fascinent son univers. Je ne le lui reproche pas, mais j'avoue que le dernier en date me laisse plus que perplexe.

Le petit Noam n'a pas encore quatre ans que, déjà, il occupe une place importante dans ma vie. Très vif, ce petit bout d'homme n'a pas sa langue dans sa poche et court partout à la recherche de nouveaux jeux que je lui fournis souvent. J'aime passer du temps avec lui : il est éveillé, souriant et pose beaucoup de questions. L'autre jour, alors que je me baladais en sa compagnie, on m'a demandé s'il s'agissait de mon fils. Bien que je ne ressens pas encore le désir d'enfants, j'aimerais vraiment que ceux-ci lui ressemblent. Dans tous les cas, j'ai hâte de le voir grandir et faire ses premiers pas dans la vraie vie. Car si je préfère laisser à mon oncle et ma tante le loisir de le découvrir par eux-mêmes, je crois qu'il est, lui aussi, un sorcier, et je trépigne d'impatience à l'idée de l'aider à lancer ses premiers sortilèges et de lui apprendre à voler sur son premier balais.

Je pourrais parler de Padraig pendant des heures. Il m'énerve, il m'agace, il me provoque, il me tape sur les nerfs, mais il est mon meilleur ami et il serait bien difficile de mesurer l'attachement que nous avons l'un pour l'autre.

Je me souviens de notre première rencontre comme si elle datait d'hier. Il m'avait repérée sur une barque le jour de notre arrivée, et tout intrigué qu'il était par mes cheveux roses, s'était assis à mes côtés. Très vite, nous nous sommes menacés de nous jeter mutuellement par-dessus bord et, depuis, des menaces similaires n'ont cessé de pleuvoir, plus de la moitié d'entre elles ayant d'ailleurs été mises à exécutions. Nous sommes tous deux excentriques, légèrement colériques et méfiants, ce qui donne à nos relations une teinte des plus inhabituelles. Mais nous aimons ce jeu, et c'est pourquoi nous nous accordons la plus grande confiance. Il est le seul à qui je me sente libre de me confier, et je crois que le sentiment est réciproque.

Le dernier jour de notre scolarité à Poudlard s'est achevé comme celle-ci avait commencé, sur des menaces, sous les habituels regards exaspérés, à cette différence près qu'en franchissant pour la dernière fois les immenses portes de la bâtisse de pierres, nous étions un couple. Cette histoire, bien qu'elle ravit les nombreux parieurs, n'a pas duré, et ce pour notre plus grand bien à tous les deux. Nous nous retrouvons mieux dans notre amitié, et c'est sereinement que nous avons tous deux entamé notre formation d'auror. Très vite, nous sommes d'ailleurs devenus partenaires : que nous nous connaissions si bien et appréhendions si bien nos réactions mutuelles était sans conteste un grand avantage. À son grand désarroi, une fois diplômés, je lui ai malheureusement préféré le voyage et le quidditch. Cela ne durera qu'un temps, je le rejoindrai vite sous le blason du Ministère et il le sait, mais il ne manque pas de me reprocher mon infidélité dès que l'occasion se présente pour lui de le faire. Mais cela ne fait rien,  car au fond, je crois que j'aime nos disputes.

Laila et moi n'avons pas toujours été la paire que nous formons aujourd'hui. Entendons-nous bien, je ne l'ai jamais détestée mais, pendant de nombreuses années, son caractère plaintif et sa vision pessimiste de la vie m'ont exaspérés au moins autant que ma bonne humeur et mon sens de l'absurde ont joué avec ses nerfs. D'aussi loin que je me souvienne, nous nous sommes toujours opposées en tout, et si nous ne nous sommes pas vraiment accrochées à ce propos, nous nous sommes souvent évitées. D'après ce que j'en sais, elle jalousait chez moi une vie qu'elle jugeait trop facile. J'étais à ses yeux une petite fille gâtée qui n'avait jamais connu le malheur et ne pouvait le comprendre et elle était aux miens une petite chose qui ne voulait pas ouvrir son esprit aux petits bonheurs qu'offre le quotidien. La tyrannie qu'instaura Branstone entre les murs du château a pourtant changé la donne, et nous avons fini par comprendre que nos différences pouvaient devenir complémentarité, au point qu'aujourd'hui, nous sommes plus proches que jamais. Elle sait me ramener sur terre quand mes lubies m'éloignent de la réalité des choses, en retour je lui offre d'autres perspectives d'existence.

Une fois nos études terminées, nous avons d'ailleurs voyagé toutes deux pendant de longs mois, pendant une année, voguant de lieux en lieux à l'écoute et à la découverte de nouveaux ailleurs. Je ne saurais exprimer à quel point cette parenthèse fut enrichissante et à quel point nous nous sommes nourries l'une de l'autre. Elle m'a manqué quand elle a décidé de rester en Inde et que m'a vie m'a rappelée dans la chaumière où j'avais grandi, auprès des miens. Mais aujourd'hui, son retour en Angleterre m'égaye plus que jamais.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs ou les oiseaux. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements, les miaulements, ou les grognements, bien qu’ils communiquent principalement par des positions faciales et corporelles et des phéromones. Selon les résultats de travaux menés en 2006 et 20071, le chat domestique est une sous-espèce du chat sauvage (Felis silvestris) dont son ancêtre, le chat sauvage d’Afrique (Felis silvestris lybica) a vraisemblablement divergé il y a 130 000 ans. Les premières domestications auraient eu lieu il y a 8 000 à 10 000 ans au Néolithique dans le Croissant fertile, époque correspondant au début de la culture de céréales et à l’engrangement de réserves susceptibles d’être attaquées par des rongeurs, le chat devenant alors pour l’homme un auxiliaire utile se prêtant à la domestication.

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